A quelques jours du début du championnat d'Europe, PSG-canal historique vous fait revivre les grandes compétitions et le parcours des joueurs du PSG. 8ème étape, la victoire historique des Bleus en 1998
Bernard Lama, Alain Roche, Vincent Guérin, Youri Djorkaeff et Patrice Loko avaient porté haut les couleurs du PSG en 1996. Deux ans plus tard, un seul Parisien participe à la Coupe du monde à domicile, le gardien de but Bernard Lama. Et encore, le portier du PSG ne sera que la doublure de Fabien Barthez, et ne participera à aucune rencontre lors de la compétition...
Lama (0 match) : une blessure et Bernard Lama a perdu sa place dans les buts de l'équipe de France au profit de Fabien Barthez. C'est en qualité de doublure que le gardien parisien vit cette compétition historique... Aucun match à son actif, mais une polémique lorsque Lama aurait refusé de jouer un match sans enjeu contre le Danemark au premier tour, ce qu'il a toujours nié, mais le Guyanais restera - à jamais - un des Bleus champion du monde, comme il l'analyse : "Lors de cette coupe du monde, on a savouré les choses chacun à sa manière. A partir du moment où on participe à une telle aventure, on est complètement intégré. Le fait de ne pas être tout le temps sur le terrain ne veut pas dire qu’il n’y a pas une vie en commun. Et je crois que quand on est sur le banc de touche aussi, on a un rôle important vis-à-vis des garçons qui sont sur le terrain : c’est d’être là avec eux d’une part, et d’autre part d’observer pour pouvoir donner des renseignements à ses partenaires. Donc, cela reste pour moi de toute façon de très bons souvenirs. Je ne regrette pas de ne pas avoir joué contre le Danemark parce que je n’ai pas refusé de jouer le match. Le fait que je n’ai pas joué est venu d’une analyse collective avec le sélectionneur. Pour le bien de l’équipe, il était mieux non pas que je ne joue pas ce match-là, mais que Barthez le joue. Et donc cela n’a rien à voir avec une décision personnelle. En fait, c’est le message qu’ont voulu faire passer les médias à l’époque mais ce n’était pas ce qui s’était passé, et comme je ne communiquais pas plus que cela à ce moment-là, voilà d’où ce malentendu est venu".
Bernard Lama, Alain Roche, Vincent Guérin, Youri Djorkaeff et Patrice Loko avaient porté haut les couleurs du PSG en 1996. Deux ans plus tard, un seul Parisien participe à la Coupe du monde à domicile, le gardien de but Bernard Lama. Et encore, le portier du PSG ne sera que la doublure de Fabien Barthez, et ne participera à aucune rencontre lors de la compétition...
Lama (0 match) : une blessure et Bernard Lama a perdu sa place dans les buts de l'équipe de France au profit de Fabien Barthez. C'est en qualité de doublure que le gardien parisien vit cette compétition historique... Aucun match à son actif, mais une polémique lorsque Lama aurait refusé de jouer un match sans enjeu contre le Danemark au premier tour, ce qu'il a toujours nié, mais le Guyanais restera - à jamais - un des Bleus champion du monde, comme il l'analyse : "Lors de cette coupe du monde, on a savouré les choses chacun à sa manière. A partir du moment où on participe à une telle aventure, on est complètement intégré. Le fait de ne pas être tout le temps sur le terrain ne veut pas dire qu’il n’y a pas une vie en commun. Et je crois que quand on est sur le banc de touche aussi, on a un rôle important vis-à-vis des garçons qui sont sur le terrain : c’est d’être là avec eux d’une part, et d’autre part d’observer pour pouvoir donner des renseignements à ses partenaires. Donc, cela reste pour moi de toute façon de très bons souvenirs. Je ne regrette pas de ne pas avoir joué contre le Danemark parce que je n’ai pas refusé de jouer le match. Le fait que je n’ai pas joué est venu d’une analyse collective avec le sélectionneur. Pour le bien de l’équipe, il était mieux non pas que je ne joue pas ce match-là, mais que Barthez le joue. Et donc cela n’a rien à voir avec une décision personnelle. En fait, c’est le message qu’ont voulu faire passer les médias à l’époque mais ce n’était pas ce qui s’était passé, et comme je ne communiquais pas plus que cela à ce moment-là, voilà d’où ce malentendu est venu".
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