lundi 31 octobre 2011

Nicolas Anelka : "Ce succès aurait pu nous redonner la confiance…"


Le 1.500ème but de Nicolas Anelka l’avait laissé sans voix : déçu par les insinuations de la presse suite au licenciement de Philippe Bergeroo et le peu de soutien de certains joueurs cadres envers leur ex-entraîneur, miné par les blessures, Nico boude les micros… Heureusement, nous l’avons interrogé dix ans plus tard sur ce but capital pour le livre "Témoignages" sur les 40 ans du club, et sa réponse est sans équivoque : "Mon but et ce succès pouvait nous redonner la confiance, hélas cela n’a pas été le cas. On était surtout satisfait de mettre un terme à cette série noire sans victoire". Luis Fernandez, pour sa part, ne se privera pas de commenter ce premier succès pour son retour au Paris : "Je voyais mon équipe un peu contractée, qui ne lâchait pas ses coups, alors je leur ai dit à la mi-temps que si ils jouaient plus haut, ils récupéreraient plus de ballons". Le but d’Anelka, c’est aussi le pari de Luis : "Anelka, j’ai failli le sortir à la pause parce qu’il a reçu un béquille. J’ai longtemps hésité et je lui ai dit : " Continue jusqu’à ce que tu en mettes un !" Visionnaire, Luis ? Surtout réaliste face au défi qui l’attend alors : "L’important, c’est de retrouver le goût de la victoire. Pour le déclic, il faut attendre. Il y a encore du travail". Le quotidien L’Equipe titre au lendemain de ce succès "Signé Anelka". Un feu de paille entre le buteur incompris et son entraîneur, qui s’achèvera sur un incroyable malentendu un an plus tard…

9 décembre 2000, le 1500ème but du PSG en première division


C’est un PSG en crise qui reçoit Metz au Parc des Princes : neuf matches sans le moindre succès, un record dans l’histoire du club. Pourtant le peuple Rouge et Bleu a repris espoir après la nomination six jours plus tôt de l’enfant chéri du club, Luis Fernandez. Paris a perdu son premier match à Galatasaray en Ligue des champions (0-1) mais attend avec impatience et espoir le retour de Luis Fernandez à Paris. 42.965 spectateurs ont rempli le Parc des Princes pour le match de la rédemption, avec un Stéphane Dalmat très marqué par les contre-performances des siens et sur le banc des remplaçants. 17h15, le match débute et le show Luis Fernandez peut commencer : tel un matador, il encourage son équipe, très fébrile. La délivrance arrive juste après la pause : un ballon perdu bêtement par les Messins, une interception de Peter Luccin pour Nicolas Anelka qui marque d’une frappe croisée et imparable (47ème). L’histoire retiendra que ce but o combien capital est le 1.500ème du PSG en première division. Malgré l’expulsion de Talal El Karkouri, Paris préserve ce résultat positif et met fin à la spirale négative du club. Le miracle Luis Fernandez semble en marche mais Paris va vite déchanter malgré l’annonce quelques heures plus tard du recrutement annoncé d’un futur crack mondial, un certain Ronadinho…


Zlatko Vujovic : "Je n’avais pas confiance en moi..."


10 buts en 1989-90 et une saison gâchée par une pubalgie, 10 buts la saison suivante et un énorme sentiment de gâchis : le parcours parisien de Zlatko Vujovic n’a pas marqué les esprits des supporters du PSG… L’ancien buteur de Bordeaux et Cannes, engagé par son compatriote Tomislav Ivic devait être le parfait partenaire de son ami Safet Susic. En désaccord avec Ivic et son football défensif la première saison, il ne va pas s’imposer sous le règne d’Henri Michel, au jeu plus offensif. A sa décharge, une préparation tronquée par sa participation à la Coupe du monde : "Lors de cette compétition, j’ai participé à des matches qui se sont déroulés par une température supérieure à 30°, puis j’ai eu à peine 10 jours de repos avant de reprendre l’entraînement. Cela laisse des traces dans l’organisme…" Vujovic expliquait son manque de réussite par une perte de confiance : « J’avais des problèmes d’ordre moral, pour retrouver la confiance, il faut inscrire des buts difficiles à chaque entraînement, seule la réussite de ces exercices t’apporte suffisamment de confiance en toi pour que tu puisses oser les répéter en match avec succès". Imaginait-il un avenir sous le maillot parisien ? : "Cela fait maintenant cinq ans que je vis en France, je n’envisage pas pour l’instant un retour en Yougoslavie". A l’arrivée de Canal +, Vujovic se montrera redoutable et inflexible pour casser son contrat qui courrait jusqu’en 1992. Une attitude que les supporters parisiens n’ont jamais vue sur les pelouses… Le mot de la fin pour raconter ses deux saisons parisiennes, selon ses deux anciens coéquipiers, Daniel Bravo : "Zlatko n’avait pas le potentiel que l’on espérait… En douze mois, je n’ai jamais parlé avec lui ! Il s’étirait, s’entraînait, mais ne parlait jamais avec nous… Il me gonflait, il tombait tout le temps ! Pourtant, il était costaud, je crois tout simplement qu’il avait peur… En plus, Safet Susic se servait de nos appels lors des matches pour faire briller son ami Zlatko, mais cela n’a pas été une réussite…" Même son de cloche du côté de Christian Perez : "Zlatko avait des difficultés, il n’était pas efficace. Il était craintif, il tombait tout le temps ! Safet Susic cherchait en permanence à le faire briller, il voulait l’aider, et il le privilégiait au détriment du collectif". Sans concession…

24 mai 1991, le 1000ème but du PSG en première division


C’est un PSG en révolution qui se déplace à Nancy, pour la dernière journée du championnat 1990-91. Safet Susic, qui espère prolonger avec Paris, a préféré ne pas participer à cette rencontre. Il ne portera plus jamais les couleurs du PSG, comme six joueurs présents sur la pelouse du stade Picot (Tanasi, Bosser, Jeannol, Bibard, Lah et Vujovic), l’entraîneur Henri Michel et le président emblématique, Francis Borelli. Nancy doit obtenir le point du match nul pour assurer son maintien en première division mais va buter sur une solide défense parisienne. Après la pause, Paris ouvre logiquement le score : une montée de Jeannol, un centre de Lah et Zlatko Vujovic dévie le ballon dans les buts lorrains (51ème). C’est le 1000ème but du PSG parmi l’élite, dans la plus grande indifférence… Un quart d’heure plus tard, le buteur yougoslave double la mise sur un exploit personnel : excentré sur le côté, il marque dans un angle impossible, alors que le gardien attendait un centre. Un but à la Pastore (65ème) ! Paris s’impose facilement et termine dans la première partie du tableau (9ème), Nancy profite du faux-pas de Sochaux pour se maintenir en première division. Le président Borelli quitte le PSG après treize ans de règne, la fin d’un époque et le début d’une nouvelle ère pour le PSG nouvelle vague de Canal +, officialisé une semaine plus tard…

portofolio : les anciens face aux variétés (2) !






portofolio : les anciens face aux variétés !






Les anciens du PSG ont résisté aux Variétés club de France (4-4, buts de Makelele, Simba (2) et Mboma) à Orgeval, pour les grands débuts d'un jeune retraité avec les anciens : Claude Makelele ! Antoine Kombouaré a été énorme, pour cette fête du football. Quelques clichés souvenirs...

dimanche 30 octobre 2011

depuis quand le PSG n-a-t-il plus obtenu cinq penalties après quatre mois de L1 ?


Nenê a inscrit un doublé contre Caen, et porté à cinq les penalties obtenus par le PSG après Valenciennes (but de Nenê 2-1, le 21-08-2011) et Nice (buts de Nenê et Gameiro 2-1, le 29-10-2011). Paris égale son record absolu : 5 penalties en 1989-90, avec 4 réussites et un échec pour Gaby Calderon. Mention spéciale à la saison 1981-82 : 11 penalties sifflés pour le PSG en championnat, avec Dominique Bathenay (8 buts et un échec) et Ivica Surjak (un but et un échec).

samedi 29 octobre 2011

série de victoires en Ligue 1 : nouveau record pour le PSG !


En s'imposant face à Caen au Parc des Princes (4-2), le PSG a remporté un sixième succès consécutif en Ligue 1 et a égalé sa série record en 1995-96 : six succès (à Nantes 2-1, Saint-Etienne 4-0, à Gueugnon 3-1, Le Havre 2-0, à Cannes 2-0, Monaco 2-1). Prochain objectif : une victoire à Bordeaux pour un record absolu !!!

12 septembre 1981, le 500ème but du PSG en première division


Le PSG, après un bon début de saison, reste sur une série décevante en championnat avant d’affronter Brest, promu en D1. Déception au Parc des Princes : seulement 16.374 spectateurs sont présents, alors que le Parisiens avaient joué devant plus de 30.000 supporters lors des trois premiers matches de championnat. C’est un moment spécial pour Michel N’Gom, pour sa première titularisation au Parc des Princes. Depuis son arrivée à Paris, le jeune attaquant ronge son frein, gêné par une blessure. Après avoir séduit son entraîneur Georges Peyroche lors d’un match amical face à Boca Juniors et un certain… Diego Maradona, N’Gom va pourtant assister, impuissant, au réalisme des Bretons qui mènent 2-0 à l’heure de jeu. A la 67ème minute, sur une passe de son grand ami Luis Fernandez, N’Gom réduit le score et inscrit le 500ème but du PSG en première division. Paris pousse, N'Gom pense égaliser à trois minutes de la fin mais son but est refusé pour un hors-jeu imaginaire. Si Paris s’incline contre toute attente, Michel N’Gom a lancé sa saison et a séduit le Parc des Princes : il inscrira finalement six buts et terminera second meilleur buteur à domicile, derrière Dominique Rocheteau (sept buts).

Michel N’Gom: "Paris me fait rêver"

L’éternel sourire de Michel N’Gom s’est éteint le 12 août 1984, sur une route de Bourgogne, dans un tragique accident de voiture. Après trois saisons réussies au PSG, l’international espoirs avait quitté la Capitale pour Auxerre et n’avait laissé que des bons souvenirs du côté du Camp des Loges.

Après avoir inscrit le 500ème but du PSG en D1, son premier sous le maillot parisien, il s’était confié à la presse: « Ce soir, j’ai marqué un but… et demi, l’arbitre m’ayant refusé un second but pour un hors jeu très discutable… Je suis heureux d’avoir marqué, j’ai toujours été attiré par le but et j’en ai réussi un bon nombre partout ou je suis passé. Une revanche pour l’ancien attaquant de… l’OM, mis à l’écart lors de la fin de saison précédente : « Je garde un bien triste souvenir de Marseille, lors du chômage que j’ai dû subir. Quand j’ai reçu une proposition du PSG, je suis tombé de haut, j’étais comblé. Je rêvais depuis longtemps de jouer au Parc des Princes que je ne connaissais pas du tout. Puis me retrouver, même comme réserviste, à l’entraînement avec un Dahleb, un Bathenay, un Rocheteau… Et puis, il y a ce public de Paris qui m’aime bien semble-t-il, et dont j’apprécie la chaleur et l’enthousiasme ». Est-il heureux d’être à Paris ? « Comment ne le serais-je pas actuellement. Mais vous savez, je garde les pieds sur terre. Après ce que j’ai vécu, je prends la vie au jour le jour ! Il me plairait tout de même beaucoup de marquer d’autres buts pour le PSG et de sortir enfin de la période grise qui m’a longtemps handicapé ».

Merci Monsieur N’Gom, vous nous manquez…

Le PSG se rapproche des 2000 buts en première division !


1997. Avec les quatre buts inscrits contre Caen, le PSG n'a plus que trois buts à inscrire et se rapproche rapidement du cap des 2000 buts en première division. Quel buteur parisien atteindra ce total symbolique, à Bordeaux le week-end prochain ou face à Nancy au Parc des Princes ? Les paris sont ouverts !

Caen, le cauchemar de Ceara...


Marcos Ceara n'a sûrement pas oublier Caen, le 1er décembre 2007, à la 76ème minute de la rencontre, le défenseur latéral brésilien avait commis une énorme bourde en tentant de dribbler Florentin, alors qu'il était le dernier défenseur sur la pelouse. Ceara marche sur le ballon, Caen marque et s'impose au Parc des Princes (1-0) mais le "Révérend" s'est bien remis de ce coup du sport et reste un membre important du PSG 2011-12. Ce 1er décembre 2007, personne n'aurait parié sur un tel parcours à Paris...

le fait du jour, 29 octobre 1972 : le PSG joue pour la première fois avec un sponsor maillot


Le PSG joue pour la première fois avec son nouveau sponsor maillot, Montréal, et s’impose aisément face au Havre (2-0, buts de Christian André et Michel Béhier) lors d'un match du championnat de 3ème division (National), malgré un penalty raté par Eric Renaut en début de match.

vendredi 28 octobre 2011

Caen, victime expiatoire du PSG !


Les Normands de Caen n'apprécient guère le déplacement au Parc des Princes et possèdent le pire bilan des clubs de Ligue 1 de cette saison 2011-12, avec 10 défaites en 12 rencontres, pour un seul succès et un match nul.
Voici en exclusivité le bilan des adversaires du PSG à Paris depuis 1974 :

1 Caen 83% de succès pour le PSG (10 v, 1 n, 1 d)
2 Sochaux 67% (21 v, 7 n, 3 d)

3 Rennes 66% (16 v, 5 n, 3 d)

4 Saint-Etienne 65% (19 v, 9 n, 1 d)
5 Valenciennes 64% (9 v, 3 n, 2 d)

6 Toulouse 56% (13 v, 6 n, 4 d)

7 Montpellier 52% (10 v, 5 n, 4 d)
8 Lille 51% (17 v, 11 n, 5 d)

9 Ajaccio 50% (2 v, 1 n, 1 d)
9 Brest 50% (6 v, 5 n, 1 d)

9 Lyon 50% (16 v, 10 n, 6 d)

12 Auxerre 48% (15 v, 11 n, 5 d)

13 Bordeaux 47% (17 v, 8 n, 11 d)

14 Marseille 41% (13 v, 10 n, 8 d)

15 Nice 40% (11 v, 8 n, 8 d)

16 Nancy 34% (8 v, 7 n, 8 d)

17 Lorient 25% (2 v, 1 n, 5 d)

Ce classement ne tient pas compte de Dijon (un seul match) et Evian Thonon (aucun match)

Interview exclusive de jean-Claude Bras, premier buteur du PSG en D1 !


Jean-Claude Bras : "Le plus important, c’était de gagner les matches !"
Le premier buteur du PSG parmi l’élite est revenu sur ses exploits sous le maillot Rouge et Bleu : "Je ne me souvenais plus que j’étais le premier buteur du club en D1. Par contre, je n’ai pas oublié le premier but que j’ai inscrit pour le PSG, le tout premier de l’histoire du club lors d’un match amical contre Quevilly (1-3, le 1er août 1970). C’était un but étonnant : l’éclairage était mauvais, il pleuvait, c’était humide. J’ai reçu une balle à 35 mètres des buts adverses et Tchouki Djorkaeff a crié : "Frappe, putain !" (rires). Je l’ai écouté, c’était une frappe lourde et elle est entrée dans les buts, un grand moment, inoubliable… ». Le premier but du PSG en première division lui a laissé moins de souvenirs : "Pour le match à Nancy, je me rappelle surtout de notre sortie précipitée dans un camion de pompiers, et de l’odeur des gaz lacrymogène. On avait gagné sur des actions litigieuses, je me souviens surtout de la tristesse du gardien de but de Nancy, Joseph Magiera, que j’avais connu à Valenciennes. Le plus incroyable dans cette histoire, c’est que les spectateurs de Nancy avaient été élus meilleur public de France huit jours plus tôt ! Je ne me souviens pas de mes buts, car pour moi, l’essentiel était de gagner les matches. On voulait devenir le premier club de France, il y avait une super ambiance, que du bonheur pour une véritable bande de copains". Le futur président du Red Star est-il toujours un supporter du PSG ? "J’ai le PSG dans mon cœur, j’avais signé un contrat de 7 ans et je suis resté discret sur ce point, mais je devais devenir manageur du club à la fin de mon contrat, c’était acté. Je suis né à Paris, et même si j’ai 66 ans aujourd'hui, je reste un môme de la Capitale ! Mon club, c’est le Red Star, c’est religieux pour moi, mais j’ai aussi porté le maillot du PSG, puis du PFC. D’ailleurs, quitte à surprendre, je suis ravi de l’arrivée des Qataris à Paris". Même si il redoute la mise à l'écart des jeunes espoirs parisiens : "Je ne me retrouve pas trop dans le football show-biz , je préfère le football issu des centres de formation. Je regrette toujours qu’il n’y ait pas deux clubs à Paris, je ne pardonnerai jamais à certains d’avoir détruit notre projet au Red Star. Aujourd’hui, le football a changé, c’est le sport spectacle, il y a trop d’angoisses, de drames, avec la pression des médias. Comme ancien syndicaliste, je trouve que le foot a un rôle fondamental dans notre société, mais parfois excessif. Il faut du rêve, mais il faut aussi des gens qui s’engagent pour la formation, continuons à faire rêver les gosses ! Il y a 15 ans, j’ai participé à la création d’un centre de formation en Chine, il faut poursuivre ses échanges, au Qatar et dans le reste du monde. Un dernier mot sur le nouveau PSG : "J’apprécie aussi un Parc des Princes pacifié, et je souhaite beaucoup de succès au club de la Capitale". Merci Monsieur Bras !

25 août 1971, le premier but du PSG en première division


Quinze jours après ses débuts en première division, le bilan est inquiétant pour le PSG : une défaite à Angers (0-2) puis un match nul contre Bordeaux (0-0), et Paris est toujours à la recherche d’un premier succès, et d’un premier but en D1. C’est à Nancy que les Parisiens vont débloquer les compteurs, au terme d’un match spectaculaire, qui va malheureusement s’achever dans la violence et la confusion… On joue la 37ème minute de jeu quand survient enfin le but que tout les supporters parisiens attendent. Une action qui va faire couler beaucoup d’encre : sur une contre-attaque du PSG, un choc avec le buteur parisien Michel Prost met K-.O le défenseur franco-espagnol de Nancy, José Lopez. L’arbitre ne siffle pas, Gérard Hallet récupère le ballon et centre vers Jean-Claude Bras qui marque de la tête. Malgré la colère des Lorrains, le but est accordé, le PSG va finalement s’imposer 3-2, provoquant l’envahissement du terrain par les spectateurs et le départ précipité des joueurs vers les vestiaires. Pendant trente minutes, les Parisiens vont patienter, les pompiers finissant par évacuer les derniers récalcitrants ! Les joueurs du PSG finiront par quitter le stade, allongés dans un camion de pompiers, sous les projectiles et les vitres brisées... L'arbitre est évacué par la police, le PSG a gagné, mais les joueurs auront du mal à cacher leur déception devant ces événements. Le président Henri Patrelle est furieux après ces débordements inadmissibles : "C'est navrant ! 1.500 excités sur 13.000 spectateurs ont provoqué des incidents qui dépassent tout ce que j'avais pu voir jusqu'à présent". On dénombre dix blessés parmi le service d'ordre, et les supporters parisiens n'y sont pour rien...

exclu PSG.canal-historique : objectif 2000 buts en Ligue 1 !


Le PSG va prochainement atteindre le cap symbolique des 2000 buts en championnat de première division. En exclusivité, PSG.canal-historique va vous faire revivre les grands moments des buteurs parisiens en championnat : le premier buteur, le 500ème, le 1000ème, le 1500ème, le plus beau but, le meilleur buteur... Allez Paris !

l'incroyable destin d'Armando Monteiro...



Le moins célèbre des joueurs brésiliens du PSG n’en est pas moins l’un des plus efficaces, avec 4 buts inscrits en 9 rencontres officielles. Et son histoire est exceptionnelle : débarqué un jour au Camp des Loges en 1973, alors que le PSG joue en seconde division, ce grand attaquant (par la taille) et redoutable buteur de la tête propose timidement ses services à Justo Fontaine, expliquant qu’il avait joué dans sa jeunesse à Flamengo au Brésil et qu’il avait rejoint la France sans l’accord de son père, médecin. L’entraîneur parisien accepte sa proposition, et lui propose un contrat d’une saison à Paris. La belle histoire est en marche, cet adepte du jonglage se montre décisif pendant quelques mois avant de céder sa place de joueur étranger à Mordechaï Spiegler, recruté à la fin de l’année 1973. Monteiro fait partie de l’histoire du PSG, inscrivant un but lors du premier match joué au Parc des Princes, face au Red Star en D2 (3-1, le 10/11/1973). Toujours souriant, il prend alors le chemin du Sud de la France, sort un disque de samba Brasa Brasil avec Eduardo Filho, puis devient chef d’orchestre de musique brésilienne pendant plus de 20 ans, au sein du groupe “A Samba”. Il va animer les soirées à Saint-Tropez chez Eddie Barclay avec l’ancien joueur marseillais Paulo Cesar avant de s’installer à Mougins. Armando Monteiro est décédé depuis quelques années.

le fait du jour : 28 octobre 1973 : la samba au PSG avec les grands débuts d'Armando Monteiro !


Première titularisation pour le Brésilien Armando Monteiro contre Gueugnon au Camp des Loges avec un but à la clé. Avec ce large succès (le PSG s'impose sur le score de 5-1 pour ce match de championnat de seconde division), Paris obtient un précieux point de bonus.

jeudi 27 octobre 2011

Le PSG doit-il craindre son second match consécutif en L1 à domicile contre Caen ?


La défaite à Dijon va permettre aux Parisiens de se consacrer au grand objectif de la saison : une qualification en Ligue des champions, voire un titre de champion de France... Le PSG peut pourtant craindre ce second match à domicile, car les Parisiens gagnent rarement leurs deux matches à la suite... Depuis 1974 et le retour du PSG en première division, Paris a eu l'occasion de jouer deux fois consécutivement à 52 reprises* pour seulement l'emporter 14 fois, soit un modeste pourcentage de 26,92% de réussite... Sur les vingt dernières années, Paris a réussi le coup double en 2008-09 (Sochaux 2-1 et Caen 2-0), 2004-05 (Bastia 1-0 et Nantes 1-0) et 1993-94 (Metz 1-0 et Cannes 2-1). Pour rappel, la saison dernière le PSG avait battu Arles-Avignon (4-0) avant de partager les points avec Rennes (0-0).
*Ce chiffre tient compte des 4 séries de 3 matches à domicile pour les Parisiens en 1976-77, 1981-82, 1985-86 et 1990-91 : ses séries ont été divisées en 2 (premier et second match, puis second match et troisième match)

le fait du jour : 27 octobre 1984, la fin du trio historique du PSG...


Georges Peyroche a tranché après la débâcle européenne contre Vidéoton pour le match de championnat au Parc des Princes contre Rouen (3-2) : les trois "historiques" Dominique Baratelli, Dominique Bathenay et Gérard Janvion sont évincés du groupe. La fin d'une ère pour le PSG et pour les deux "Dominique", titulaires indiscutables au PSG depuis... 1978 !

depuis quand le PSG a-t-il perdu un match après avoir mené avec deux buts d'écart ?


Le PSG a quitté la Coupe de la Ligue sans gloire, éliminé par Dijon après avoir mené 2-0. Paris n'avait plus connu telle mésaventure depuis le 3 mars 2005 et une élimination en 8ème de finale de la Coupe de France à Auxerre (2-3) après avoir inscrit les deux premiers buts. Deux saisons plus tôt, le PSG s'était incliné à Guingamp (2-3) malgré un but exceptionnel de Ronaldinho, après avoir mené 2-0 à l'heure de jeu... Le 7 mars 2011, les Parisiens avaient vécu un incroyable retournement de situation à La Corogne en Ligue des champions : après avoir mené 3-0, ils s'étaient finalement incliné 4-3 ! La plus grosse humiliation remonte au 1er mars 1997 : le PSG mène... 4-1 en 8ème de finale de la Coupe de France avant de se faire sortir au tirs au but (4-4, 3-4 t.a.b) par des modestes amateurs. Un an plus tôt, Paris avait perdu le titre de champion de France un soir de février 1996 au Parc des Princes contre Montpellier (2-3), après avoir mené 2-0 à la 76ème minute de jeu ! Malgré l'arrivée des Qataris, Paris restera toujours Paris...

mercredi 26 octobre 2011

le PSG, la trentaine offensive !


Le PSG a inscrit son 30ème but de la saison (pour 16 matches officiels) et pourrait atteindre le cap des 100 buts en fin de saison : en 2010-11, les Parisiens n'avaient inscrit que 23 buts après 16 matches pour terminer avec un total de 96 buts ! La répartition des buts est sans équivoque : les attaquants marquent, les défenseurs défendent ! un seul joueur à pure vocation défensive a inscrit un but, le Brésilien Ceara. Les 30 buts du PSG : Gameiro 9, Nenê 6, Pastore 5, Menez 3, Bodmer 2, Bahebeck 1, Ceara 1, Erding 1, Jallet 1 et le défenseur de Differdange Afoun contre son camp.

exclu psg-canalhistorique : Nenê plus efficace que Ronaldinho !


Une saison et demi a suffi à Nenê pour dépasser son illustre compatriote Ronaldinho : en inscrivant face à Dijon son 26ème but officiel avec le PSG, il vient de doubler la star brésilienne, auteur de 25 buts sous le maillot parisien. Une belle performance, Ronnie ayant joué deux saisons pleines au PSG...

le retourné d'amara simba !!

le fait du jour : 26 octobre 1991, il y a 20 ans, la bicyclette d'Amara Simba


Paris se rassure au Parc des Princes contre Nîmes (2-0) après ses deux premières défaites de la saison, avec un doublé d’Amara Simba. Le buteur parisien a ouvert le score d’un superbe frappe en ciseau retourné.

mardi 25 octobre 2011

le fait du jour : 25 octobre 1997, le but exceptionnel de Raï contre Lens !


Raï d’une talonnade exceptionnelle, inscrit l’un des deux buts parisiens contre Lens (victoire 2-0) et sonne la révolte du PSG après la désillusion européenne à Munich (1-5 contre le Bayern). Le jeune Marco Pantelic, acclamé par le public et déçu de ne pas rentrer sur la pelouse en fin de rencontre, adresse un bras d’honneur à son entraineur et se met définitivement en marge du groupe.

* Le but de Raï contre Lens est-il le plus beau du PSG en championnat ?? A vous de voter, très bientôt...

série de victoires au Parc des Princes : le PSG peut-il battre son record ??


En remportant son cinquième succès consécutif au Parc des Princes en Ligue 1 face à Dijon, le PSG s'est rapproché de son record absolu, 8 victoires consécutives en 1982-83 (Saint-Etienne 4-1, Lens 4-3, Bordeaux 2-0, Brest 2-0, Lyon 3-0, Lille 4-1, Metz 3-1 et Tours 4-2). Paris a obtenu sept succès lors de la saison 1985-86, avec un premier titre de champion de France à la clé. Le PSG n'avait plus remporté cinq matches à la suite depuis la saison 2003-04. Si les Parisiens s'imposent contre Caen, ils égaleraient les 6 victoires de 1981-82, 1993-94 et 2000-01, la dernière série à 6 succès des parisiens.

lundi 24 octobre 2011

le fait du jour : 24 octobre 2000, le PSG détruit Rosenborg sur le score de 7-2


2000 * PSG – Rosenborg 7/2 (Ligue des Champions, 1ère phase, 5ème journée) Le PSG s'impose contre les Norvégiens de Rosenborg sur le score exceptionnel de 7-2 au Parc des Princes et se qualifie pour le second tour de la Ligue des champions. Paris établit un nouveau record européen dans l’histoire du club et n’avait plus inscrit sept buts en match officiel depuis 1984 ! Le PSG a fait la différence après la pause, alors que le score était de 3-2. Mention spéciale à Nicolas Anelka, auteur d’un doublé, et Laurent Robert, dans tous les bons coups.

série de victoires en L1 : PSG à une marche du record !


En s'imposant face à Dijon au Parc des Princes (2-0), le PSG a remporté un cinquième succès consécutif en Ligue 1.

Le PSG égalise sa série lors de la saison 2003-04 (Toulouse 2-1, à Guingamp 2-0, Auxerre 1-0, à Sochaux 1-0, Le Mans 5-1) et se rapproche de sa série record en 1995-96 : six succès (à Nantes 2-1, Saint-Etienne 4-0, à Gueugnon 3-1, Le Havre 2-0, à Cannes 2-0, Monaco 2-1).

samedi 22 octobre 2011

1986 : quand le PSG affrontait Dijon...



Le PSG a déjà affronté Dijon lors d'un match officiel, lors d'une rencontre de 32ème de finale de la Coupe de France à Auxerre, le 25 janvier 1986. Un souvenir inoubliable à titre personnel (mon premier déplacement avec les supporters du PSG : j'y étais...) et une victoire aisée sur le score de 2-0 contre une modeste équipe amateur de D3 (buts de Fabrice Poullain et Luis Fernandez en début de match). Les supporters parisiens présents n'ont pas oublié la sortie houleuse sous les insultes des "gentils" Dijonnais et l'intervention énergique du président Francis Borelli et du capitaine Luis Fernandez pour éviter une charge totalement inexpliquée des "forces de l'ordre"...

le fait du jour : 22 octobre 1995, le chef-d'oeuvre de Youri Djorkaeff


Superbe victoire pour le PSG contre Auxerre au Parc des Princes (3-1), avec un but exceptionnel des Parisiens en début de rencontre. Après un échange aérien avec Raï, Youri Djorkaeff reprend de volée et marque d’une frappe dans la lucarne des buts auxerrois.

Pour revoir le but, le lien : http://www.youtube.com/watch?v=q-b8Lb4DPAI

vendredi 21 octobre 2011

Deux cartons rouge en coupe d'Europe : une première depuis ... 1983 !


Avec la double expulsion de Clément Chantôme et Siaka Tiéné à Brastislava, le PSG a égalé sa pire performance européenne qui remonte à la première campagne du club de la Capitale, en 1983-1983. Le 16 mars 1983, Paris était tombé dans un véritable traquenard en Belgique contre Waterschei, et avait perdu deux joueurs lors des prolongations : Jean-Claude Lemoult, pour avoir giflé... un spectateur qui l'insultait, puis Sarr Boubacar pour un second avertissement sévère après un pied levé. Paris avait été éliminé en 1/4 de finale de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe (2-0, 0-3 a.p.).
Avec - déjà - trois exclus, le PSG 2011-12 a établi un nouveau record pour une saison européenne...
Le record d'exclus lors d'une seule rencontre est de 3 joueurs, lors d'un déplacement en championnat à Lille (défaite 1-2 le 11/09/2002, expulsions de José Aloisio, Mauricio Pochettino et Frédéric Déhu).

le fait du jour, 21 octobre 1992 : Weah enflamme le Vésuve !


Premier exploit européen du PSG d’Artur Jorge en Europe, qui s'impose à Naples (2-0) avec un doublé de son buteur libérien George Weah. Paris a fait un grand pas vers la qualification pour les 8ème de finale de la Coupe UEFA et l'hebdomadaire France-Football titre après ce probant succès : "PSG, naissance d'une équipe !"

jeudi 20 octobre 2011

le fait du jour (2) : 20 octobre 2004, l'incroyable coup du scorpion de Corirdon


Charles-Edouard Coridon ouvre la voie au succès parisien d’une aile de pigeon acrobatique, surnommé "le coup du scorpion". Le Parc a apprécié ce moment magique et le PSG s'impose 2-0 pour ce qui reste, à ce jour, sa dernière victoire en Ligue des champions...

amusant : quel est le buteur le plus rapide dans l'histoire du PSG ?


Si Safet Susic est le joueur parisien le plus rapide en première division (48 secondes contre Lille), c'est un but... contre son camp, oeuvre du Lillois Nordine Kourichi (45ème seconde, le 22/10/1983, score final 5-4 pour Lille) qui reste à ce jour la plus rapide réalisation pour le PSG en D1. Toutes compétitions confondues, Paul Le Guen semble hors d'atteinte : il avait ouvert le score contre les Chypriotes de l'Apoël Nicosie après seulement... 13 secondes de jeu ! Sept buts ont été inscrits par le PSG dans la première minute de jeu, dont voici le détail : 1 Paul Le Guen contre Nicosie (13ème seconde, le 28-09-1993) 2 Bernard Béreau contre Lille en finale du Nationale (30ème seconde, le 12-06-1971) 3 Nordine Kourichi (contre son camp) contre Lille (45ème seconde) 4 Luis Fernandez contre l'OM (50ème seconde, le 09-08-1985) et Nenê contre Auxerre la saison dernière (50ème seconde, le 24-10-2010) Ce classement ne tient - malheureusement - pas compte du but d'Ivica Surjak contre Lyon le 25 septembre 1981 : le but a été inscrit dans la première minute, mais il n'existe aucun détail à la seconde près dans la presse en France...

le fait du jour : 20 octobre 1990, Safet Susic inscrit l'un des buts les plus rapide pour le PSG en championnat !


Le PSG s'impose aisément face à une faible équipe lilloise au Parc des Princes (2-0), mais l'exploit du jour est une nouvelle fois l'oeuvre de Safet Susic, qui ouvre le score après seulement... 48 secondes de jeu ! Le meneur de jeu parisien profite d'une grossière erreur du Lillois Decroix (passe en retrait mal ajustée) pour inscrire son premier but de la soirée.

exclusif psg.canal-historique : Slovan Bratislava, 70ème adversaire européen pour le PSG !


Le Slovan Bratislava deviendra le 70ème adversaire européen* du PSG, une épopée européenne débutée en 1982 face aux Bulgares du Lokomotiv Sofia. Pour le plaisir, voici la liste de 69 adversaires européens du PSG, par ordre chronologique. Des bons - et de moins bons... - souvenirs !
Lokomotiv Sofia, Swansea, Waterschei, Glentoran, Juventus Turin, Hearts, Vidéoton, Vitkovice,
Kuusysi Lahti, PAOK Salonique, Naples, Anderlecht, Real Madrid, Apoel Nicosie, Universitea Craiova, Arsenal, VAC Budapest, Bayern Munich, Spartak Moscou, Dynamo Kiev, FC Barcelone, Milan AC, Molde, Celtic Glasgow, Parme, La Corogne, Rapid Vienne, Vaduz, Galatasaray, AEK Athènes, Liverpool, Steaua Bucarest, Göteborg, Besiktas Istanbul, Maccabi Haïfa, Rosenborg, Helsinborgs, Jazz Pori, Simferopol, La Gantoise, Brescia, Rapid Bucarest, Glasgow Rangers, Ujpest, National Bucarest, Boavista, Chelsea, CSKA Moscou, Porto, Derry City, Hapoël Tel Aviv, Mlada Boleslav, Panathinaïkos, Benfica Lisbonne, Kayserispor, Schalke 04, Racing Santander, Manchester City, Twente, Wolfsburg, Sporting Braga, Maccabi Tel Aviv, FC Séville, Carpates Lviv, Borussia Dortmund, Bate Borisov, Differdange, Red Bull Salzbourg, Athletic Bilbao. *Cette liste prend en compte la Coupe Intertoto.

mercredi 19 octobre 2011

le fait du jour : 19 octobre 1983, le PSG et Safet Susic font trembler la grande Juventus Turin


Le PSG affronte en 8ème de finale de la Coupe des vainqueurs de coupe la grande Juventus Turin, avec ses champions du monde italiens (Zoff, Gentile, Cabrini, Sxciera, Tardelli, Rossi), et ses stars étrangères, le Polonais Boniek et le Français Michel Platini. 48.776 spectateurs ont remplis le Parc des Princes pour une affluence record dans l'histoire du club à cette époque. Après un long round d'observation, les Parisiens se procurent leurs premières occasions de but à la demi-heure de jeu : Susic frappe un coup-franc dangereux (33eme), Zaremba inquiète la défense italienne sur une frappe puissante (37eme). Logiquement, Alain Couriol de la tête ouvre le score en reprenant un mauvais renvoi du gardien italien Tacconi (39è). Safet Susic, éblouissant réussit d'incroyables prouesses techniques, ridiculisant les défenseurs italiens et l'international champion du monde, Gentile. Après la pause, Bathenay se blesse (50eme, claquage au mollet). C'est le tournant du match. Dahleb le remplace, puis Boniek profite de la désorganisation défensive des Parisiens pour égaliser (63eme). Le PSG est sous le choc, le polonais de la Juve récidive en frappant un coup-franc pour la tête victorieuse de Cabrini (78eme). Dans un ultime sursaut d'orgueil, les parisiens se déchaînent, ratent à plusieurs occasions l'égalisation. On joue les arrêts de jeu, lorsque N'Gom entré en jeu à la place d'Abreu, frappe du gauche à quinze mètres de buts et égalise (90eme). Le PSG et la Juve se quittent sur un score de parité (2-2) mais Paris a séduit la France, qui a suivi la rencontre sur son petit écran pour une audience record.

mardi 18 octobre 2011

Didier Domi : "j'ai le coeur PSG !"


C'est avec gentillesse et simplicité que Didier Domi est revenu sur son parcours lors de l'émission "Tribune PSG" sur France Bleu 107,1. De retour en France après une année aux USA, au New England Revolution à Boston, il nous a précisé que David Beckham reste un sacré joueur... mais dans une position plus défensive, au milieu de terrain. Formé au Camp des Loges, il est désormais un fan du PSG de Leonardo et Antoine Kombouaré, qu'il a côtoyé en tant que joueur. Présent au Parc des Princes contre Salzbourg et Lyon, Didier Domi a promis de revenir encourager SON équipe si il met un terme à sa carrière, ce qu'il envisage avec sérénité. Il sera de retour en France après quelques jours en Grèce où son ancien club, qui ne l'a pas oublié, l'a invité lors du déplacement à Dortmund, en Ligue des champions. Une belle marque de respect (à méditer) pour les anciens du club...